2006 - Janvier
Que risque-t-on pour « travail au noir » ?
La dissimulation d’emploi salarié, appelée couramment travail occulte, a des effets néfastes : charges sociales et impôts éludés, main-d’œuvre fragilisée, concurrence déséquilibrée… Mais quels sont exactement les risques ?
Quand y a-t-il « travail au noir » ?
L’importance des sanctions encourues (voir page précédente) en cas de dissimulation d’emploi salarié incite à examiner de plus près les hypothèses les plus fréquentes de « travail au noir ». Pouvez-vous limiter le risque ?
Intempéries, grèves dans les transports publics… vos salariés et vous-même avez perdu beaucoup d’heures de travail. Savez-vous comment les récupérer ?
Ici, ce n’est pas l’assemblée nationale !
Les délégués du personnel doivent être reçus au moins une fois par mois par le chef d’établissement (ou son délégué). Deux jours ouvrables au moins avant la réunion, ils vous ont remis leurs demandes… Comment tenir la réunion ?
Il (elle) est devenu(e) insupportable !
La mésentente ou l’incompatibilité d’humeur, entre l’employeur et l’intéressé, entre l’intéressé et ses collègues de travail, est souvent invoquée lors d’un licenciement. Est-ce possible ? Comment faire ? Quelles précautions prendre ?
Relevés d’heures… attention à l’effet boomerang
Fiches de temps, relevés d’heures, bordereaux d’activité… peu importe leurs noms, vos salariés remplissent de tels documents. Peuvent-ils s’appuyer sur ces documents pour demander le paiement d’heures supplémentaires ?
Un de vos salariés vient d’être déclaré inapte. Vous savez ce que vous devez faire dans le mois de cette décision : le reclasser et si cela est impossible ou s’il refuse les reclassements, le licencier. Et au bout d’un mois ?